FAN DE CONCORDE

Bienvenue sur le nouveau site FAN DE CONCORDE qui complète nos pages Facebook  https://www.facebook.com/groups/fanconcorde qui rassemblent  plus de 50 000 amoureux du concorde et également https://www.facebook.com/groups/concorde.supersonique.

Ce site remplace également le site concorde- bvfc.fr qui est fermé . Le statut de Fan de concorde devrait évoluer dans les mois à venir. Faites nous part de vos idées, faites nous parvenir photos, rubriques, anecdotes, etc ...qui pourraient enrichir le contenu de ce site. Il existe déjà de nombreux sites mais chacun a sa particularité et tout le monde s'y retrouve. Bonne lecture. Jacques

 

Laissez un petit commentaire et vous recevrez un stylo Fan de concorde

GRATUITEMENT

et sans aucun engagement

 


Voici à quoi ressemble l’avion supersonique Overture, ce « nouveau Concorde » annoncé pour 2026

Depuis la fin du Concorde en 2003, l’arrivée sur le marché de nouveaux avions de lignes supersoniques se fait attendre. Peut-être pour plus très longtemps. L’avion Overture de Boom Supersonic pourrait entrer en scène dès 2026, et s’envoler pour des trajets commerciaux à partir de 2029.

On le surnommait « l’oiseau blanc ». Le Concorde, fleuron de l’aviation commerciale française a connu un destin funeste, il y a plus de vingt ans. L’accident de juillet 2000, à Gonesse (Val-d’Oise), de l’avion supersonique avait causé la mort de 113 personnes. Cet événement a précipité la mise à l’arrêt d’un appareil révolutionnaire, mais peu rentable et au coût écologique qui serait aujourd’hui décrié (11,2 tonnes de carburant à l’heure), rappelle le site du magazine L’Histoire.

Depuis, les discussions fusent quant à l’avenir de l’aviation commerciale. Dans un secteur qui se relève progressivement de la pandémie de Covid-19, les projets de « nouveaux Concorde » germent depuis quelques années. Certains sont plus avancés que d’autres, comme celui de Boom Supersonic. D’après le média généraliste américain CNN, cette entreprise veut relancer l’avion de ligne supersonique destiné aux vols commerciaux, avec son bijou de modernité, appelé Overture.

Paris-New-York en 3 heures 30

Un long nez qui ressemble à celui du Concorde, une vitesse qui dépasse 1,7 fois le mur du son (soit 2 100 km/h), deux fois plus rapide qu’un Airbus A350... Overture rallierait New York depuis Paris en trois heures et demie, réduisant de moitié le temps de trajet pour un vol classique. Le Concorde avait mis seulement 2 heures, 52 minutes et 59 secondes pour relier New York à Londres, lors d’un vol de la compagnie British Airways, le 7 février 1996. Un record.

Lappareil de Boom Supersonic sera conçu pour transporter entre 64 et 80 passagers, et voler à une altitude de 60 000 pieds. C’est 50 % d’altitude supplémentaire que les principaux avions leaders du marché, comme le Boeing 787 ou l’Airbus A350.

Carburant durable

Pour limiter l’impact carbone de son avion, Boom Supersonic mise sur du carburant durable (SAF, pour Sustainable Aviation Fuel). Cette alternative au kérosène sera assurée par l’entreprise Dimensional Energy, qui produit des carburants et des produits neutres en carbone en recyclant le CO2. L’accord prévoit une consommation de 19 millions de litres de SAF par an pendant toute la durée du programme d’essais en vol de l’Overture.

Boom prévoit d’ouvrir Overture au service commercial d’ici 2029. Alors que le premier avion devrait sortir de l’usine dès 2026 – pour un premier vol en 2027 –, trois compagnies aériennes ont déjà passé commande auprès de l’entreprise implantée à Centennial, dans le Colorado. Il s’agit de United Airlines, American Airlines et Japan Airlines, avec un total de 130 commandes, dont 35 sont accompagnées d’acomptes non remboursables et 95 précommandes. Le Concorde avait été produit à seulement 20 exemplaires sur l’ensemble de sa durée de vie, dont 14 pour les vols commerciaux.

Retour en photo suR la journée concorde a aeroscopia


Vingt ans après leur retraite forcée, où les Concorde se cachent-ils ?

1. Prototype 001 F-WTSS

Musée de l’air et de l’espace, Le Bourget (France). C’est le tout premier Concorde à avoir volé : ce prototype a effectué un vol d’essai au-dessus de Toulouse le 2 mars 1969. Il a été mis à la retraite dès octobre 1973, après avoir effectué 397 vols. Il détient le record du monde d’altitude pour un appareil non militaire (73 000 pieds, soit plus de 22 000 mètres).

2. Prototype 002 G-BSST

Fleet Air Arm Museum, Yeovilton (Angleterre). Ce prototype britannique a effectué son premier vol le 9 avril 1969 à Filton, en Angleterre. Il a été mis à la retraite sept ans plus tard.

3. Avion de présérie 101 G-AXDN

Imperial War Museum, Duxford (Angleterre). Il détient le record de vitesse, établi à Mach 2,237 (2 460 km/h) en avril 1974. Il a été mis à la retraite le 20 août 1977, après avoir effectué 269 vols. Possibilité de monter à bord et d’accéder au cockpit.

4. Avion de présérie 102 F-WTSA

Musée Delta, aéroport d’Orly, France. C’est le premier Concorde à s’être posé aux États-Unis : il a atterri à Dallas le 20 septembre 1973. Pendant ses tests, il portait sur le flanc droit les couleurs de British Airways et sur le flanc gauche celles d’Air France. Il conserve cette particularité dans le musée où il est aujourd’hui exposé.

5. Avion de test 201 F-WTSB

Musée Aeroscopia, Blagnac (France). C’est l’un des deux avions de test (notamment pour l’entraînement des équipages), qui n’ont jamais été utilisés pour des vols commerciaux. Il a volé pour la dernière fois en avril 1985. Aujourd’hui, on peut visiter ses aménagements intérieurs et son poste de pilotage.

6. Avion de test 202 G-BBDG

Brooklands Museum, Weybridge (Royaume-Uni). C’est le second avion de test. Il a été le premier à transporter 100 personnes à deux fois la vitesse du son en 1974. Mis à la retraite en décembre 1981, il a ensuite servi de source de pièces de rechange pour les autres appareils. Il a depuis été entièrement restauré et se visite. Il accueille même des cérémonies de mariage.

7. Avion de série 204 G-BOAC

Aéroport de Manchester (Royaume-Uni). C’était le plus lourd des appareils exploités par British Airways. Il a effectué son premier vol le 27 février 1974 et son dernier, vers Manchester, le 31 octobre 2003. Des visites guidées sont aujourd’hui organisées à bord, avec la possibilité d’explorer le poste de pilotage.

8. Avion de série 205 F-BVA

Smithsonian’s new Air and Space Museum, aéroport international de Washington Dulles, Chantilly (États-Unis). C’est le premier appareil de série livré à Air France pour le service commercial en 1976. Il a effectué son dernier vol le 12 juin 2003.

9. Avion de série 206 G-BOAA

National Museum of flight, Edinbourg, Écosse. Cet appareil affrété par British Airways a ouvert la ligne entre Londres et Bahreïn en janvier 1976. Il a effectué son dernier vol le 12 août 2000. Pour rejoindre le musée écossais en 2004, il a effectué un périple impressionnant sur une barge, remontant notamment la Tamise, puis par la route. On peut aujourd’hui visiter l’intérieur de l’appareil, avec un parcours audio.

10. Avion de série 207 F-BVFB

Musée automobile et technologique de Sinsheim (Allemagne). Cet avion a effectué le tour du monde en septembre 1988, parcourant près de 48 000 km en 38 heures et 13 minutes. Vendu au musée allemand pour 1 euro symbolique, il a effectué son dernier vol le 24 juin 2003. Il est aujourd’hui exposé au côté de son grand rival, le Tupolev TU-144. Cet avion supersonique soviétique, souvent accusé d’avoir plagié le programme Concorde, a été construit à 16 exemplaires entre 1972 et 1985. Il est possible de visiter la cabine et le poste de pilotage du Concorde 207.

11. Avion de série 208 G-BOAB

Aéroport d’Heathrow, Londres (Angleterre). Il n’a jamais subi les modifications nécessaires après le crash du Concorde à Gonesse en 2000 et est resté cloué au sol. Il est toujours stationné sur la piste 27 de l’aéroport, mais n’est pas accessible au public

12. Avion de série 209 F-BVFC

Musée Aeroscopia, Blagnac (France). Dernier appareil de la flotte Air France à avoir tiré sa révérence, il a effectué son ultime vol entre Paris et Toulouse le 27 juin 2003. Il est depuis exposé tout près de l’usine Airbus où il est né. Ce modèle n’est pas accessible au public, contrairement à l’autre Concorde du musée, le 201 F-WTSB.

13. Avion de série 210 G-BOAD

Interpid Sea Air Space Museum, New York (États-Unis). Sous les couleurs de British Airways, il a participé au défilé aérien du jubilé de la reine Elisabeth en 2002. Il a volé jusqu’à New York pour la dernière fois le 10 novembre 2003, puis a été transféré jusqu’au musée sur l’Hudson River à bord d’une barge. Il est aujourd’hui présenté au public aux côtés de la navette spatiale américaine Enterprise et du porte-avions américain U

14. Avion de série 211 F-BVD

Aéroport du Bourget, Dugny (France). Mise en service par Air France en février 1977, il a endommagé lors d’un atterrissage à Dakar, puis réparé. Affecté en 1979 à la liaison Dallas – New York (mais ses capacités supersoniques n’étaient pas utilisées), il a été retiré du service trois ans plus tard, puis été utilisé comme source de pièces de rechange. Seul un morceau de fuselage de 6 mètres de long a été conservé près des pistes de l’aéroport du Bourget, et il n’est pas accessible au public.

15. Avion de série 212 G-BOAE

Barbados Concorde Experience Museum (La Barbade). Cet appareil de British Airways a pris son envol pour la dernière fois le 17 novembre 2003, en direction de l’île des Caraïbes.

16. Avion de série 213 F-BTSD

Musée de l’air et de l’espace, Le Bourget (France). Cet appareil détient le record du monde du vol le plus rapide autour du monde dans les deux directions : 32 heures et 49 minutes vers l’ouest, au départ et à l’arrivée de Lisbonne (Portugal) en octobre 1992, avec six escales ; 31 heures et 27 minutes vers l’est, au départ et à l’arrivée de New York, en août 1995, avec six escales. Aujourd’hui, il est exposé au musée du Bourget, non loin du premier prototype du Concorde.

17. Avion de série 214 G-BOAG

Museum of Flight, Seattle (États-Unis). Utilisé sur la fin de sa carrière comme source de pièces détachées, il a été restauré et a quitté Londres pour la dernière fois le 3 novembre 2003 en direction de New York. Il a ensuite effectué un dernier vol supersonique au-dessus de la partie inhabitée du Canada nord, le 5 novembre 2003, jusqu’à Seattle.

18. Avion de série 215 F-BVFF

Aéroport Paris-Charles-de-Gaulle, Roissy (France). Lors du crash du Concorde à Gonesse en 2000, cet appareil venait d’entrer en grande visite d’entretien à l’aéroport de Roissy et était en cours de démontage. Il a ensuite été mis à la retraite et a été utilisé comme source de pièces détachées. En 2005, il a été positionné près des tours de contrôles de Roissy. C’est le seul appareil dont la compagnie Air France est encore propriétaire. Stationné au bord des pistes en position cambrée et inclinée vers la droite, il n’est pas accessible au public.

19. Avion de série 216 G-BOAF

Aerospace Bristol, Bristol (Angleterre). Dernier de la série Concorde à avoir été construit, c’est aussi celui qui a effectué l’ultime vol au départ de l’aéroport de Londres Heathrow le 26 novembre 2003. Il a volé en mode supersonique au-dessus du Golfe de Gascogne, avec à son bord une centaine de membres d’équipage de British Airways, avant d’atterrir à Bristol.

 

 

 

La manifestation à Fondettes a été un peu délaissé du public. Sans doute le beau temps un week end de la Pentecôte en est la principale raison. 

La présence de deux hôtesses concorde Nicole Menneveux avec Christiane le Minor était très appréciée du public. Elles ont pu apporter leurs témoignages et anecdotes.

Philippe Bianco (APCOS)a également été très sollicité avec son simulateur concorde.

Thierry Coeffé était présent  avec sa maquette concorde au 1/21 totalement fabriquée par lui-même. Un chef d’œuvre.

Gérard Souedet et son équipe de bénévoles  de Fondette-Ailes avaient dispersé, documents AIR France, livres etc…  et des panneaux philatéliques

De mon côté je présentais quelques pièces concorde.

Nous avons eu plusieurs pilotes mais pas de concorde. Pierre Louis Montfort parmi eux, mais également des mécanos naviguants, des hôtesses AIR INTER…

Et le Samedi une grande figure de l’aviation Claude LIEDET, 901 heures de vol de guerre, n° 2 en 613 missions, 3 fois touchés,

Médaillé militaire, Médaille de l’Aéronautique, Commandeur de la Légion d’Honneur, Commandeur de l’Ordre National du Mérite…

il termine sa carrière Colonel avec 11000 heures de vols sur tous types d’avions, à hélice, à réacteurs et planeurs

Bref, une  bien belle journée.

Ce week end de la pentecôte a fondettes


Stylo publicitaire avec nom et mail Fan de concorde. Stylo métal de bonne qualité

2 MARS 2023 : Il y a 24 ans aujourd'hui, premier vol concorde 

Le 2 mars 1969, il y a tout juste 54 ans, le bel oiseau blanc s'envolait pour la première fois de Toulouse

et allait nous permettre d'aller à New York en 3h30.
Aujourd'hui, nous mettons 7 heures et le bel oiseau blanc n'a toujours pas de successeur !

Où sont passés les pionniers ?

Guy Cervelle ; Responsable de l'exploitation des vols spéciaux

Revivez ce premier vol

MICHEL RETIF 100 ANS CE JOUR 17 FEVRIER 2023

Personne n'a oublié Michel RETIF qui faisait partie de l'équipage du premier vol du Concorde.

Michel est resté quelqu'un de simple et d'abordable que j'ai eu l'honneur de rencontrer et échanger quelques mots lors du  50 eme anniversaire du premier vol.

Michel Rétif, « L’intelligence de la grosse main » comme le surnommait Turcat, est le dernier des quatre membres d’équipage du premier vol de Concorde. Si sa carrière pourrait de prime abord apparaître comme linéaire, puisqu’il n’a jamais changé de société, est en fait passionnant. Je vous invite si ce n'est déjà fait à vous procurer son livre qui est passionnant. Vouys pouvez le trouver notamment sur le site de l'APCOS

Bon anniversaire Michel

 

Témoignage de Fred Finn. le plus grand voyageur du monde. Record mondial GUINNESS

Fred Finn revendique pratiquement 15 millions de miles, soit plus de 20 millions de kilomètres effectués confortablement assis dans les sièges Business Class d’une multitude de compagnies aériennes. Le livre Guiness a bien sur entériné cette performance. Et à n’en pas douter, Fred Finn est le plus grand « voyageur en série » encore en activité !

Pouvez vous Fred rapidement vous présenter car si vous êtes connus outre Manche, en France vous l'êtes beaucoup moins ?

" Je suis la personne qui a effectué le plus de miles  au monde J'ai les records du monde Guinness depuis 1983. "

Combien de vols en Concorde ?

" J'ai effectué 718 vols  sur Concorde British Aiways et 18 sur   Concorde Air France "

Combien avez vous visité de pays ?

" 150 Pays je crois  "

Est ce qu'avec autant de vols, vous aviez toujours autant de plaisir à voler ?

" Oui, je prends beaucoup de plaisir à voler,  j'ai le sang qui bouille "

Avez vous gardé des souvenirs particuliers lors de certains vols ?

" Oui, j'ai fait  une tentative de décollage , j'ai atterri avec les roues, ce sont des souvenirs spéciaux. Bien entendu, Concorde et mes relations privilégiées avec cet avion sont  exceptionnel  et ont été mémorables. "

Concorde n'existe plus sauf dans les musées. Estes vous toujours autant passionné par ce bel oiseau ?

"  J'ai été  l'invité d'honneur dans beaucoup de manifestations notamment   à Manchester pour le cinquantième anniversaire du premier vol Concorde  et j'ai  prononcé un discours et ensuite une séance de questions-réponses . Ce fut une  Journée très spéciale .  "

Meilleurs vœux Fred

21 janvier 1976, vol inaugural Paris - Dakar - Rio

Le 21 janvier 1Le 21 janvier 1976 s'opérait le tout premier vol commercial du supersonique Concorde. Le voyage reliait Paris à Rio de Janeiro avec une escale à Dakar (Sénégal). Ça c'était pour la France. L'autre exploitant, l'Angleterre, reliait Londres à Bahreïn ce jour-là.

https://www.concordereference.fr/21-janvier-1976-vol-inaugural-paris-dakar-rio/

 

On ne présente plus Jean Louis Chatelain.

Le Haut-savoyard  vient d’écrire et d’éditer un livre intitulé “ Heures de vol ”. Un ouvrage dans lequel il évoque sa carrière mais aussi 50 ans d’aviation. Il réserve un large chapitre au Concorde qu’il a piloté pendant 400 heures dont 260 en supersonique de Décembre 2001 à juillet 2003.

Le Concorde a été «l’aboutissement» d’une vie de pilote, même si «la formation est très lourde». «C’est une Formule 1 de l’aviation, avec les performances d’un avion de chasse sur un avion de transport civil» .

Il est toujours disponible :

Au prix de 30 € dans les librairies suivantes :

  •  La boutique du musée de l’air et de l’espace du Bourget
  •  La boutique du musée Aeroscopia de Toulouse
  •  La Maison du livre Aviation Bd Malesherbes Paris 17ème
  • La librairie des Aravis de Thônes
  • La boutique Air France aéroport CDG
  • En ligne, sur notre site http://alpha-crux.fr/ au prix de 30 € + 8 € de participation aux frais de port
  • Soit en téléchargeant le bon de commande à envoyer accompagné du paiement
  • Soit en remplissant le formulaire en ligne et en réglant par virement bancaire (infos RIB disponibles en ligne en bas du formulaire ou sur le bon de commande)

Une dédicace est possible sur demande spécifique

Avec nos meilleurs vœux pour de joyeuses fêtes et nos cordiales salutations

 

Editions ALPHA CRUX

chignin@gmail.com

internet:   alpha-crux.fr


Un des pionniers de Concorde vient de nous quitter aujourd'hui.
Camille COMBIS a participé aux essais au sol et en vol de Concorde, en tant que metteur au point sur le CONCORDE prototype 001 F-WTSS, de 1967 à 1972.
Je vous partage une vidéo du 1er vol de CONCORDE en sa mémoire.
Et comme le dit si bien Michel Rétif, Camille Combis était "celui qui, pouce levé, donnait le feu vert au Concorde pour décoller" en 1969 ! Il formait son duo avec André Chaumeton, qui nous a lui aussi quitté fin février de cette même année 2022..
Ils n'auront pas été séparé longtemps donc.
Voici, pour le connaitre un peu mieux, le message que Jean Pinet* à écrit à destination de André Chaumeton et Camille Combis le 25 juin 2017, message partagé lors de nos AG de CAC ce jour là en 2017 :
" André Chaumeton et Camille Combis sont deux figures des essais Concorde. Ils ont été des fidèles et dévoués relais avec les équipes au sol, avec l’avantage que nous pouvions les voir physiquement au départ et à l’arrivée de nos vols. Tableau rassurant pour nous, signifiant que tout était en ordre en quittant la position sol, car notre confiance en eux était grande, eux le dernier chaînon de la formidable équipe de mise en œuvre, exprimant par les gestes convenus que l’avion pouvait partir pour sa mission. Evidemment notre confiance était totale pour l’ensemble de l’équipe mais leur présence active représentait l’ultime étape des travaux de cet ensemble, de façon directe et rassurante.
Ils étaient à l’écoute vigilante de tout commentaire que nous pouvions leur confier, nous passant aussi les leurs de façon très professionnelle. Je ne peux m’empêcher de me souvenir de leurs gestes nous guidant vers la position arrêt au retour de l’avion.
Ils étaient souvent éloignés des gestes conventionnels de l’aviation civile, mais connaissant nos deux équipiers nous n’avions aucun doute sur leur signification, et cela nous faisait amicalement sourire. Nous revenions chez nous.
C’est donc avec beaucoup de plaisir que j’exprime à nos deux amis et à travers eux à l’équipe sol de Concorde notre reconnaissance et notre amitié. Et personnellement mes sentiments cordialement affectueux à nos deux compères.
Jean PINET "

Source Musée du concorde https://www.facebook.com/EspaceConcorde001 16 novembre 2022